DECEMBER

France | Live & Dj Set

contact booking : Sidonie

Tomas compose et joue sous le nom December depuis 7 ans maintenant. Après avoir sorti des disques sur les labels les plus réputés de la scène électronique européenne : Jealous God, Blackest Ever Black, Mannequin, Pinkman, Return to Disorder, L.I.E.S ou Veyl ; avec une régularité, une constance et une exigence remarquable, sa discographie est très largement saluée par la scène électronique mondiale. Il est un invité régulier d’événements et lieux majeurs tels que le Berghain, le festival Berlin Atonal, Reaktor Katharsis à Amsterdam, le Salon des Amateurs, Tresor ou Kisloty. Son style si particulier, puissant et mélancolique, minimaliste et romantique, sombre mais débordant d’émotions, caractérisé par son utilisation si particulière du chant et de sa voix, fait de lui un artiste à part.


A la croisée du post-punk, de la techno, de l’ambient, de l’electro, de l’IDM et de l’EBM, il a forgé un son extrêmement personnel et original, toujours hybride, mélangeant des références et genres rarement associés, lui valant souvent l’image d’un artiste inclassable. Tomas a pris son temps et a crée un univers musical (et esthétique) unique. Après une dizaine d’EP, il sort en fin son premier album en novembre 2021, sobrement appelé « Début », sur le label du producteur britannique Broken English Club. Neuf morceaux de punk électronique puissants et minimalistes, toujours teintés de cette mélancolie profonde qui lui est propre.


Depuis trois ans il collabore aussi étroitement avec la photographe Marie Quéau qui réalise plusieurs clips pour le musicien, plusieurs de ses pochettes de disques et les deux artistes travaillent aussi à deux œuvres audiovisuelles communes : un live AV dont la première mondiale a eu lieu le 4 Juin 2022 au festival Le Bon Air à Marseille et dont une tournée internationale est en préparation, ainsi qu’une installation artistique visuelle et sonore dévoilée au festival Nord Fiction, en basse Normandie, le 17 et le 18 Juin.


Avec son alias December, Tomas continue de creuser ce tunnel vers une utopie musicale personnelle et particulièrement moderne : une musique qui pourrait faire autant danser que pleurer, s’écouter dans son lit ou sur un dance floor moite, une musique que l’on transpire et que l’on crie, que l’on fredonne et que l’on écoute ému·e·s, une larme à l’œil.

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